vendredi 27 avril 2012

mercredi 25 avril 2012

Calogero

On peut s'aimer
Se désaimer
On ne ressemble
Qu'à ce qu'on fait
On peut rêver
Se réveiller
On n'est semblable
A ce qu'on est

(Calogero)


vendredi 20 avril 2012

Coachella 2012

THE festival du moment et dont toutes les gazettes parlent ces jours-ci...

Parce que ça se passe en plein désert californien, parce que c'est un festival de musique à la programmation plutôt bien ficelée, mais pas que.

Coachella c'est aussi le point de rendez-vous des people branchouille qui veulent nous exposer leur coolitude à grand renfort de bottes en caoutchouc, des gilets frangés façon Woodstock, et de T-shirts loose. 

Ne vous y laissez pas tromper, sous des airs de "j'ai enfilé les trucs les plus moches de mon placard sans réfléchir", chacun y va de son look savamment pensé pour se retrouver sur les pages des tabloïds et dans les blogs (petits et grands). 
Et ça marche, la preuve aujourd'hui.
Tapez Coachella sur votre navigateur préféré vous verrez.

Ben oui, moi je dis merci à tous ces gentils people qui nous font le plaisir de sortir leurs vieilles guenilles (ou leurs nouvelles comme Paris Hilton) et de rigoler un petit coup en faisant nos langues de vipères (comme si on avait besoin de ça...) !

Les bottes en caoutchouc, l'accessoire indispensable !

Bof

Si si, c'est bien la fille de Demi Moore...

Jojo ! T'as pu venir !

Fergie
Réchauffée Paris, contrairement à son voisin

Vanessa Hudgens



Je crois que Lyndsay Lohan n'a pas compris le concept

jeudi 12 avril 2012

Concours Color Wax de Prior K à gagner !

TrendysLeMag vous invite à participer à son dernier concours pour tenter de gagner un joli petit accessoire soooooo trendy :
le col Claudine revisité à la sauce vintage ethnique, et qui se porte seul, comme un bijou !




Comment on fait ?
On va sur le blog, et tout est expliqué !

Une super idée à laquelle j'adhère de suite. 
Même sous mes latitudes, je peux me permettre cette petite fantaisie originale sans craindre le coup de chaud.
Super !

Pour participer c'est par là : trendyslemag, concours Prior K

samedi 7 avril 2012

Shoes must go on !

Rhaaa les chaussures ! Après les sacs (ou avant c'est selon), on peut dire que ce sont les meilleures amies des filles. 

En bonne nana que je suis, ma maladie obsessionnelle des pompes a débuté toute gamine quand je pouvais rester des heures à regarder, toucher (essayer of course !) les talons aiguilles de ma mère.

Quelques souvenirs intenses sélectionnés avec soin par mon petit cerveau, et archivés dans un tiroir dudit cerveau, destinés à influencer et formater mes comportements d'adulte face à une vitrine de magasin de chaussures.
Je m'y voyais déjà, reluquant mes petits pieds courbés dans les formes pointues et ultra-féminines des escarpins maternels. "Des talons hauts, qu'est-ce que ça fait feeemme !" je me disais... "Quand je serai grande je m'en achèterai des pareils !" Quelle gamine ne s'est pas dit ça ? 

Sauf que maintenant, j'adore toujours autant les talons aiguilles, mais rien à faire, j'arrive pas à aligner 2 pas sans risquer l'entorse. Et si y a des pavés alors là c'est l'ANGOISSE totale ! Mon Dieu des pavés ! Le talon qui se coince entre 2 pierres, c'est la chute et la grosse honte assurée. Et je ne parle pas des rues en pente... c'est carrément suicidaire.
Ouais, les pavés et les descentes, les deux cauchemars des pieds cambrés.

Dur métier...

Je dois avoir un truc bizarre au niveau des chevilles parce que je n'arrive pas à garder une démarche un tantinet normale avec ce genre de pompes. Pourtant j'ai bien pris soin de renforcer ces articulations avec des années de danse classique, mais rien à faire. 

A force d'obstination, je suis passée experte dans l'art de "l'air de rien" quand je me tord la cheville dans la rue et qu'il y a des gens derrière moi... ou devant. Le genre : "hum hum ! Je me suis tordue la cheville ? Ah mais c'est bizarre, y a un truc par terre ?" et je trace ma route en essayant de me casser le plus vite possible de cette maudite rue et de la vue moqueuse des passants.

C'est dans ces moments là qu'on comprend le VRAI sens de l'expression Fashion Victim.

Le pire du pire, c'est quand ça t'arrive pile au moment où tu passes devant la terrasse d'un café. Il fait beau, les oiseaux chantent et le soleil revient, c'est le printemps quoi !
T'as sorti tes jolies compensées que ça fait depuis le mois de novembre que tu rêves de les mettre. Et là, tu te tapes la honte de ta vie devant les dizaines de gens attablés à mater les passant(e)s.
Une seule solution : assumer, je ne vois que ça non ? Ignorer superbement les ricanements (toujours des nanas comme par hasard) et s'enfuir dignement en se disant "j'ai pas mal !".
J'ose espérer que je ne suis pas la seule à avoir vécu ce genre d'expériences inédites...


Alors je me fais plaisir en me perchant quand même, mais sur des talons un peu plus épais, on fait ce qu'on peut. Là, je suis tranquille.
Et j'ai en permanence une paire de ballerines toutes pourries dans ma voiture pour m'éviter les mauvais démarrages en côte et autres calages désagréables...

Tout ça pour dire que je prends pour des ovni (Objets Volants Non Identifiés) ces filles qui assurent à donf avec ça aux pieds, et je les jalouse. Pire ! Elles arrivent à conduire avec.

Dans le genre chaussures improbables et importables, voici quelques exemples savoureux :



Noritaka Tatehana

Chiquita Spike Shoes

Jeffrey Campbell

Alexander Mac Queen

Noritaka Tatehana for Lady Gaga

Paco Rabanne

Mc Queen


On saluera bien bas les prouesses techniques des chefs de produit.
Pour le reste.... faut voir.

mardi 3 avril 2012

La femme au Miroir

Je n'avais pas encore lu Éric-Emmanuel Schmitt, malgré sa célébrité dans le monde très fermé des romanciers.


Il faut dire que ces derniers mois je n'ai malheureusement pas beaucoup le temps de lire, à mon grand désespoir. 
Avec ce livre, je ne suis pas déçue, bien au contraire !

Déjà, rien que la couverture m'a plu avec ce tableau de Tamara De Lempicka. 


L'histoire ? 

3 femmes : Anne, Hanna et Anny.
3 époques, 3 cultures différentes, et 3 destins exceptionnels.

Leur point commun : l'image que l'on a d'elles ne correspond pas du tout à ce qu'elles sont réellement.
A cause de cette différence, on se fait le témoin de leur mal-être, de leur solitude face à leurs contemporains qui les jugent à tort.

Ce roman se lit d'une traite, on est happé par les personnages dès le début du livre, et on passe facilement de l'une à l'autre des héroïnes en découvrant des parallèles étranges.

Schmitt a le talent de mettre en évidence les sentiments et ressentis de ses personnages, par des mots extrêmement bien choisis et adaptés. 
Pas une seconde d'ennui, j'ai adoré.
Au point de me promettre de découvrir très vite les autres œuvres de son auteur...